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Vidéo Mélina nous fait visiter sa colocation solidaire

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Mélina est en colocation solidaire à Grenoble. Le principe est simple : contre un loyer à prix réduit, elle doit consacrer 2 heures de son temps libre par semaine à des actions de bénévolat dans le quartier. Elle nous fait visiter son logement.
VIDEO. Mélina nous fait visiter sa colocation solidaire Mélina est en colocation solidaire à Grenoble. Le principe est simple : contre un loyer à prix réduit, elle doit consacrer 2 heures de son temps libre par semaine à des actions de bénévolat dans le quartier. Elle nous fait visiter son logement. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Mélina est en colocation solidaire à Grenoble. Le principe est simple : contre un loyer à prix réduit, elle doit consacrer 2 heures de son temps libre par semaine à des actions de bénévolat dans le quartier. Elle nous fait visiter son logement.

On va aller faire une sortie botanique. Et du coup, on est avec des enfants du quartier, c’est ce qu'on appelle des après-midis Kaps. Kaps, ça signifie Kolocations à projets solidaires” explique Mélina. Comme tous les locataires de la colocation, Mélina consacre deux heures par semaine à des actions solidaires. L’année dernière, elle accompagnait sur le plan scolaire “une jeune tous les mercredis, parce que son objectif, c’était de passer son bac”. Les activités ne sont pas imposées. Chacun peut choisir celle qui fait “le plus de sens” pour lui.

“Un lieu de vie économiquement avantageux pour des étudiants précaires”

En tout, cinquante personnes partagent cette colocation solidaire, divisée en appartements de “4-5 personnes”. “Chaque petite coloc est autonome. Mais on a des règles de vie commune, on a des réunions tous les mois où on essaye de parler des événements qui ont eu lieu dans le quartier ou qui vont avoir lieu, des dynamiques. Par exemple, s’il y a quelqu'un qui veut mettre une impulsion pour faire une activité, il va en parler” commente Mélina, qui habite ici depuis 2 ans. L’avantage est aussi financier puisque les colocataires paient un loyer d’“environ 300 euros” par mois. “C'est un lieu de vie qui économiquement peut être avantageux, par exemple, pour des étudiants précaires” ajoute Mélina.

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