La plongée sous-marine, un loisir de plus en plus tendance
Cette passion concerne plus de 600 000 Français. Une équipe de France 2 a suivi des cours de préparation.
Bouteille, gilet de remontée, palmes, la plongée sous-marine commence par un équipement à vérifier. À la piscine de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne), ni poisson, ni coraux, juste un bassin de cinq mètres de large, mais de 15 mètres de profondeur. Objectif, s'entraîner, savoir retirer son masque dans l'eau ou encore les gestes pour sauver son camarade victime d'une syncope. "Il n'y a plus un seul bruit, on a l'impression que le monde sous-marin est entièrement à nous", explique Enzo Petremann, étudiant en hôtellerie.
Découvrir des espaces vierges
Au salon de la plongée, l'engouement pour la pratique ne faiblit pas malgré la crise. Jean-Paul et Kerstin Brunel y ont goûté il y 25 ans et n'ont jamais vraiment refait surface. Ils ont même filmés leur plongée en Indonésire. "Ce n'est pas tant le fait de vouloir aller loin, mais plutôt de voir des espaces vierges, qui ne sont pas encore trop perturbés par l'influence de l'homme. On est heureux de pouvoir voir ces sites-là", explique Kerstin Brunel dans un sourire.
Entre 800 et 4 000 euros la semaine selon les voyages, de nouvelles destinations ont fait leur apparition comme Cuba. Pour les plus férus, il faut toujours aller à la recherche de nouveaux fonds marins.
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