Meurtre d'Elodie Kulik : l'agresseur identifié par l'ADN de sa dépouille
L'ADN prélevé sur le corps de l'agresseur présumé d'Elodie Kulik a permis de le confondre. La jeune directrice d'agence bancaire avait été violée et tuée en 2002 dans la Somme. Son corps avait été retrouvé à demi calciné.
Les traces ADN retrouvées sur le lieu du crime sont bien les mêmes que celles qui ont été prélevées sur la dépouille du suspect, mort dans un accident de voiture, quelques mois après le meurtre.
Ces résultats confirment la piste obtenue grâce à une méthode dite par recoupement d'ADN, utilisée pour la première fois en France. Les enquêteurs ont été conduits jusqu'au suspect grâce à des prélèvements réalisés sur son père. Mais l'enquête ne s'arrête pas là, car les policiers recherchent toujours un second agresseur, repéré grâce au dernier coup de téléphone passé aux pompiers par la victime avant d'être tuée.
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