Ski : le port du casque se généralise

La garde à vue pourrait durer 48 heures sous surveillance médicale, Il aura 89 ans très bientôt.

L'accident de Michael Schumacher a provoqué une prise de conscience. De plus en plus d'adultes se disent qu'il est impératif de porter un casque en cas de chute. Ils n'étaient que 40% jusqu'alors. Les enfants, eux, sont mieux protégés.

Le sien est reconnaissable entre mille. Son casque, cette fillette l'a sans doute choisi pour ses pompons roses plus que pour la sécurité. Dans cette station de Haute-Savoie, c'est devenu la norme de se protéger la tête.

C'est devenu un automatisme, c'est le casque obligatoire.

Toute la famille en porte et ils ont raison et avec la chute de Schumacher dernièrement, ça fait réfléchir.

Les enfants et les adolescents s'y sont mis à 97 %. Selon l'association des médecins de montagne, pour seulement un tiers d'adultes casques.

Je ne mets pas de casque, j'ai un bon bonnet.

Ça ne protège pas comme un casque.

Non, mais on y réfléchit.

Souvent décrié parce que trop lourd ou pas assez confortable, le casque séduit aujourd'hui de plus en plus de skieurs.

Il est important que le sommet de la tête touche bien le fond du casque.

Sa technologie et son design ont beaucoup changé.

Aujourd'hui, les casques sont légers et au bout d'une journée, on l'a oublié.

Selon le centre médical de la station, 3 % des accidents sont des traumatismes crâniens. Sur l'efficacité du port du casque, les médecins sont formels.

Un hématome peut être très dangereux dans la tête même si dans la plupart du temps, c'est bénin. Le casque va réduire la gravité de tous les traumatismes crâniens.

Le message est si bien passé que certains font du zele. Même pendant les pauses, le casque reste sur la tête.