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Sécurité sociale : moins de médicaments remboursés

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Article rédigé par franceinfo
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Ces chiffres correspondent à des millésimes de 2012. Ils ont beaucoup acheté, ils écoulent leur marchandise en ce moemnt.

Aujourd'hjui, la Chine reste la 2e destination des vins français.

Leur traitement est vital et pourtant, la Sécurité sociale ne rembourse plus certains médicaments dont ont besoin des patients atteints de cancers. Ce sont les hôpitaux qui doivent prendre à charge le coût de ces soins, et souvent, ils n'y arrivent plus.

Depuis 19 ans, Madame Lim héberge dans son ventre, une tumeur cancéreuse rae. En 19 ans, trois opérations, plusieurs traitements par chimiothérapies mais peu à peu, le mal reprend le dessus. Il y a 18 mois, la situation devient critique.

Quand j'ai fait des scanners. La tumeur était cette fois inopérable. La chimio était inefficace. J'avais du mal m'asseoir, a marcher, même a lacer mes chaussures.

L'espoir pour elle, c'est un médicament, le Yondelis, elle sera pris en charge à Lyon avec une perfusion tous les mois.

J'ai vu mon ventre diminuer de volume et s'assouplir. J'ai pu m'asseoir, marcher, manger. Je fais un scanner de contrôle tous les trois mois. On voit que la tumeur a diminue et ma qualité de volume de vie augmente. Je suis plus active, moins fatiguée.

Voici son traitement.

Un flacon de Yondelis, 1 mg. Pour les patients, il faut entre deux et trois flacons par cure. Les cures sont administrées toutes les trois semaines.

Pour 4.500 euros à chaque fois, une somme à la charge de l'hôpital car depuis un an la Sécurité sociale ne rembourse pas se produit. Il est pourtant juge très efficace par les autorités sanitaires. Résultats, les hôpitaux sont de moins en moins nombreux a pouvoir traiter les patients avec le Yondelis. A Lyon, le centre de ne plus accepter de nouveaux patients. Une perte de chance inéluctable pour eux.

On ne peut pas faire sans. C'est le seul médicament à démontrer à porter une activité chez un certain nombre de pathologique sarcomateuse. Les anciens patients peuvent encore recevoir les cures. Mais on ne peut pas le prescrire a de nouveaux patients.

Si rien n'évolue, il se peut que le traitement s'arrête aussi pour des patients déjà traités. Une éventualité que Claude Lim n'ose pas imaginer.

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