Sécurité routière : circuler sur la bande d'arrêt d'urgence en cas de bouchon ?
Sécurité routière. Le secrétaire d'Etat veut ouvrir les bandes d'arrêt d'urgence à la circulation, à certaines heures, pour certains types de véhicules. L'expérience est tentée aux Pays-Bas. François Beaudonnet nous dira si ça marche.
Les braquages de commerces ont bondi de 36% l'an dernier. les malfaiteurs s'attaquent aux petites enseignes, plus vulnérables, même si le butin est souvent maigre.
Affaire BNP Paribas. François Hollande dénonce une amende injuste et disproportionnée, dans une lettre à Barack Obama. Les chefs d'Etat sont en Pologne. Jeff Wittemberg est sur place.
70e anniversaire du Débarquement. Effervescence et répétition générale du spectacle à Ouistreham, Clément Le Goff est sur place.
Dans les Cinq Dernières Minutes, nous recevrons Yannick Noah. Son dernier album, "Combats ordinaires", vient de sortir. De la colère et beaucoup d'émotion. C'est sûrement le plus personnel du chanteur. pourraient devenir accessibles dans les zones rouges pour les embouteillages. Le secrétaire d'Etat aux Transports, Frédéric Cuvilliér, y pensé. Cela permettrait de fluidifier la circulation, mais il y aurait des restrictions.
Ces voitures à gauche risquent 135 euros d'amende: elles circulent sur la bande d'arrêt d'urgence. Cette voie la plus à droite permet aux conducteurs en difficulté de s'arrêter en cas de problème. Alors, même en cas de bouchon, elle doit rester dégagée. Mais pour désenclaver les grandes villes, le ministère des Transports propose d'ouvrir la bande d'arrêt d'urgence à certains véhicules: les bus, les taxis et le covoiturage. La mesure s'appliquerait lors de créneaux horaires bien définis et seulement sur les portions de route assez larges.
Dans le contournement de certaines villes ou l'accès aux aéroports ou gares, il existe des saturations des réseaux. Il y a des réponses ponctuelles efficaces. Pour les chauffeurs de taxi, étendre cette mesure faciliterait les trajets depuis les aéroports de Roissy et Orly.
Ça nous permettra de rentrer plus vite sur Paris.
Certains sont stressés.
Chez les automobilistes, les avis sont plus partagés.
Je suis, parce que c'est vraiment la merde dans Paris. on l'autorise pour les deux-roues, alors pourquoi pas faire une vraie voie pour les taxis.
Pour les associations de prévention routière, cela ne peut se faire qu'en prenant une multitude de précautions.
Il né faut généraliser mais aménager.
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