Cet article date de plus de neuf ans.

Vidéo Cellules à vendre

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 90min
Ce replay n'est plus disponible.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Cellules souches et thérapie : mythe ou futur proche ? Il y a quelques mois, une équipe japonaise implantait avec succès des cellules souches dans l'œil d'une patiente atteinte de DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l'âge). Récemment, les médias français ont relaté qu'une malade atteinte d'insuffisance cardiaque "trottait" avec son cœur boosté aux cellules souches. Chaque cellule souche a ses caractéristiques, ses défauts, ses qualités, et chacune est dotée d'un fabuleux potentiel curatif.

Cellules souches et thérapie : mythe ou futur proche ? Il y a quelques mois, une équipe japonaise implantait avec succès des cellules souches dans l'œil d'une patiente atteinte de DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l'âge). Récemment, les médias français ont relaté qu'une malade atteinte d'insuffisance cardiaque "trottait" avec son cœur boosté aux cellules souches. Chaque cellule souche a ses caractéristiques, ses défauts, ses qualités, et chacune est dotée d'un fabuleux potentiel curatif.

Pourtant, malgré des centaines d'études en cours, peu d'usages thérapeutiques existent aujourd'hui. Ce qui n'empêche pas la présence, aux quatre coins du globle, de "marchands d'espoir" qui vendent déjà, et très cher, les hypothétiques prouesses de ces cellules.  

Séverine Lebrun et Mathieu Niewenglowski ont rencontré Clémence à Bangkok. À 23 ans, cette jeune Française atteinte d'une maladie incurable s'apprête à subir une injection de cellules souches en espérant aller mieux. Et peu lui importent les risques encourus. À Los Angeles, les cellules souches font la fortune des chirurgiens esthétiques. Enfin, en Suisse, des industriels proposent aux parents de congeler les cellules souches de leurs enfants, pour une éventuelle utilisation future. Les cellules souches sont devenues un business très convoité.

Un reportage de Séverine Lebrun et Mathieu Niewenglowski.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.