Cet article date de plus de cinq ans.
Recevez l'essentiel de l'actualité et restez à jour avec nos newsletters
découvrir nos newsletters (Nouvelle fenêtre)Comme cette jeune mère, de nombreuses familles congolaises sont endeuillées. Depuis le début de l'épidémie d'Ebola, en août 2018, plus de 300 personnes ont succombé à la maladie. La situation reste totalement alarmante dans la province du Nord-Kivu.
Dans un communiqué, l'évêque de Butembo-Beni, Sikulu Paluku Melchisédech, dénonce la résistance de ceux qui refusent d'appliquer les prescriptions hygiéniques, au point de contaminer d'autres membres de la société. Certaines personnes n'hésitent pas à profaner des tombes en déterrant les personnes décédées de la maladie à virus pour respecter des rites funéraires. Celles-ci ont fini, à leur tour, par être contaminés. Cinq mois après la déclaration de l'épidémie, plus de 47 000 personnes ont été vaccinées. "S'il n'y avait pas les vaccins, on serait à des dizaines de milliers de victimes et de morts", a estimé le ministre congolais de la Santé, le Dr Oly Ilunga.
Partager : l’article sur les réseaux sociaux
les mots-clés associés à cet article
Toute l’actu en direct et en continu, où et quand vous voulez.
L’application France Info
Tout France Info, et bien plus. Sauvegardez vos articles à lire plus tard et filtrer l’actualité qui vous intéresse
Activez les notifications franceinfo et ne manquez rien de l’actualité
Vous pouvez changer d’avis à tout moment dans les réglages de votre navigateur.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.