: Vidéo Pour le député LREM de Paris Stanislas Guerini, “le pays a été à la hauteur de la situation”, face à la crise sanitaire
"Dimanche en politique", le magazine politique de France 3, a reçu Stanislas Guerini, député dans la 3e circonscription de Paris et délégué général de La République en marche, le dimanche 14 mars. Le député s'est notamment exprimé sur le bilan de la gestion de la crise du Covid-19, un an après le début de la pandémie.
Le 14 mars 2021, "Dimanche en politique", le magazine politique de France 3 a reçu Stanislas Guerini, député de la 3e circonscription de Paris et délégué général de La République en marche. Il a répondu aux questions de Francis Letellier, notamment sur la politique d’Emmanuel Macron pour gérer la crise sanitaire et sur le bilan français, un an après le début de la pandémie.
Pour Stanislas Guerini, la guerre contre le Covid-19 n’est pas encore gagnée. “C’est un bilan qui est d’abord extrêmement lourd quand il y a 90 000 morts. Mais aucun pays dans le monde n'a gagné contre le virus. Nous sommes encore en train de lutter contre ce virus. Aucune bataille n’est pour l’instant gagnée”, a déclaré le député de Paris.
“Les décisions importantes, parfois difficiles pour nos concitoyens, ont été prises”
“Est-ce que le pays a été à la hauteur de la situation ? Je le pense. Est-ce que les décisions importantes, parfois difficiles pour nos concitoyens, ont été prises ? Je le crois”, a affirmé le délégué général de La République en marche.
“Après un démarrage qui était peut-être un peu lent face à cette crise, l'Europe a aussi hissé le niveau de jeu, et s’est mise à la hauteur sur le vaccin. Il ne faut pas oublier qu’il y a quelques mois, ça paraissait presque impensable d’avoir des vaccins”, a-t-il assuré.
"Beaucoup de nos concitoyens ont été touchés dans leur chair par ce virus”
Le député de Paris Stanislas Guerini s’est également exprimé sur le bilan français, un an après le début de la pandémie et du premier confinement national. “Je crois qu'on a été à la hauteur”, explique-t-il, avant de rappeler que le bilan est “lourd, difficile, et beaucoup de nos concitoyens ont été touchés dans leur chair par ce virus : ceux qui ont perdu des proches, mais aussi ceux que je ne veux pas oublier, qui vivent les conséquences de ce virus”.
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