Les discothèques se préparent à vivre un été sans ouvrir
Pas d'allègement de protocole sanitaire prévu dans les discothèques et pas d'ouverture prévue en septembre. Les patrons de discothèques dénoncent cette décision et menacent d'attaquer au Conseil d’État.
Saint-Tropez (Var), son port, ses jolies façades, sa plage et ses fêtes people célèbres dans le monde entier. Mais, comme partout en France, se déhancher sous les boules à facettes sera interdit tout l'été. Une figure des nuits tropéziennes ne décolère pas. "Il y a du monde dans sur les plages, dans les restaurants, c'est super, mais pourquoi mettre de côté, pourquoi rendre tabou la partie club ?", déplore Jean-Roch.
Les patrons de boîtes ne décolèrent pas
Un manque à gagner de plusieurs dizaines de milliers d'euros par mois pour les patrons qui se considèrent comme les oubliés du déconfinement. "Ce qui me choque essentiellement, c'est que l'on n'existe pas. On est une profession qui n'est quasiment pas reconnue, avec très peu d'aide voire aucune autre que le chômage partiel", constate Fabien Sanchez, un gérant de boîte de nuit. Le chômage partiel mis en place par l’État est une aide bienvenue pour les gérants de boîte de nuit, mais, pour certains, ce dispositif ne suffira pas à éviter des faillites.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.