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Frédérique Vidal travaille à faire “revenir plus d’étudiants dans les universités”

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Frédérique Vidal travaille à faire “revenir plus d’étudiants dans les universités”
Frédérique Vidal travaille à faire “revenir plus d’étudiants dans les universités” Frédérique Vidal travaille à faire “revenir plus d’étudiants dans les universités” (France 2)
Article rédigé par France 2 - C. Roux
France Télévisions

La ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal, interviewée dans les "4 Vérités" de France 2, jeudi 14 janvier, a déclaré œuvrer à faire revenir davantage d’étudiants dans les universités. 


Interrogée jeudi 14 janvier sur France 2, Frédérique Vidal a déclaré travailler à faire revenir les étudiants dans les universités pour le second semestre “tout en garantissant leur propre sécurité” et en évitant de “faire reflamber l'épidémie"
. La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation envisage notamment la mise en place de “jauges” et de faire revenir les étudiants “lors de demi-journées pour éviter les pauses déjeuner”, a-t-elle affirmé dans les “4 Vérités”.

En parallèle, plusieurs mesures de lutte contre la détresse psychologique et financière des étudiants sont à l'œuvre : “Nous avons autorisé les établissements à doubler le nombre de psychologues présents sur site et réfléchissons à permettre aux étudiants d’aller consulter des psychologues en ville, sans faire d’avance de frais. Des recrutements d’assistantes sociales sont également en cours.” Les aides exceptionnelles dédiées aux étudiants ont été doublées et les bourses rehaussées, a ajouté la ministre. 

20% des examens

Frédérique Vidal a également assuré que la crise sanitaire n’aurait pas de conséquence sur la “valeur des diplômes". Pour ce faire, environ “20% des examens” se feront en “présentiel” afin d’éviter les fraudes. 

Interrogée sur l’affaire Olivier Duhamel qui éclabousse Frédéric Mion, l’actuel directeur de Sciences Po, accusé de ne pas averti du comportement du politologue, la ministre a d’abord adressé ses pensées à la victime et à sa famille rappelant que ce sont des faits "inadmissibles et tout à fait condamnables". “Il y aura sans doute une enquête de l’inspection générale sur le sujet”, a-t-elle ajouté.

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