Retrouvez ici l'intégralité de notre live #COVID_19
23h03 : Un élément de la stratégie du premier confinement avait connu un échec : l’isolement des malades. À la sortie du confinement, un hôtel de Perpignan (Pyrénées-Orientales) a accueilli 69 malades encore contagieux. Des chambres individuelles, des repas sur place… Tout était prévu. Et 35 autres hôtels ont été mis à la disposition des malades mais seule une dizaine a reçu de rares patients. Pour beaucoup de Français, l’idée d’une quatorzaine hors de chez soi a du mal à passer. Une équipe de France Télévisions s'est rendu dans l'un de ces hôtels.
(FRANCE 2)
10h04 : Quant à la situation française, le porte-parole de l'association La Fourrure française dit attendre "le détail des résultats" de la part du ministère de l'Agriculture. La France compte quatre élevages de visons. Le coronavirus a été découvert dans l'un d'eux, situé en Eure-et-Loir, et le gouvernement a annoncé l'abattage de 1 000 animaux. "La question maintenant, c'est de savoir comment cette contamination est arrivée dans l'élevage alors que l'éleveur a été testé négatif", commente Pierre-Philippe Frieh sur franceinfo. Ce dernier se demande "s'il n'y a pas un lien entre une effraction qui a eu lieu dans cet élevage il y a quinze jours et la contamination au Covid".
10h05 : "Ce que le Danemark a fait, il ne faut absolument pas le faire." Sur franceinfo, Pierre-Philippe Frieh, le porte-parole de l'association La Fourrure française, qui représente la Fédération Française des métiers de la fourrure, estime que les autorités danoises n'avaient pas à abattre l'ensemble des visons au Danemak. Selon lui, il était "logique", et c'était même "une précaution sanitaire", d'abattre les visons dans "les élevages liés à un cluster" mais il n'était pas nécessaire "d'abattre [les visons dans] toutes les autres fermes du pays qui était hors du cluster, y compris dans des fermes qui étaient saines".
10h06 : Un dépistage massif des habitants de la région de Bolzano, dans le nord de l'Italie, a été réalisé ce week-end. "On a les premiers résultats et c'est considérable : sur 500 000 habitants de la région, pratiquement 400 000 se sont fait tester", rapporte le journaliste Alban Mikoczy depuis Bolzano. "Au total, il y a 1% de cas positifs", ajoute-t-il.
10h07 : Le gouvernement a annoncé l'abattage de 1 000 visons dans un élevage en Eure-et-Loir où circule le Covid-19. "Nous connaissons bien cet élevage, nous avons diffusé des images absolument abominables. C'est un des pires d'Europe pour la cruauté infligée aux animaux", réagit sur franceinfo, Muriel Arnal, présidente et fondatrice de One Voice, qui lutte contre la maltraitance animale.
21h46 : Les professeurs de danse et leurs élèves manifestent pour réclamer la réouverture des cours. Vêtus de noir, à distance réglementaire, en musique ou dans le silence, professionnels et amateurs dansent sur les places de Toulouse, du Havre ou de Caen dans des chorégraphies macabres pour symboliser leur souffrance.
(FRANCEINFO)
21h21 : Pedro Sanchez, le Premier ministre de l'Espagne, a indiqué vouloir vacciner "une part substantielle" des 47 millions d'Espagnols pour la mi-2021. Cette campagne de vaccination doit être lancée en janvier dans 13 000 points du pays. "Nous avons encore des mois difficiles devant nous, mais le cap a été donné", a-t-il ajouté.
21h19 : Pour le Premier ministre espagnol, la stratégie de l'Espagne pour faire face à la pandémie "donne des résultats". L'Espagne n'enregistre plus que 400 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants en moyenne depuis quatorze jours, contre 530 cas au début du mois. Il souligne que l'Espagne a obtenu une réduction des cas sans imposer un deuxième confinement.
20h59 : Les Etats-Unis espèrent commencer leur campagne de vaccination contre le Covid-19 avant la mi-décembre, d'après Moncef Slaoui, un haut responsable de l'opération gouvernementale pour les vaccins. "Notre plan est de pouvoir transporter les vaccins vers les sites d'immunisation dans les 24 heures suivant l'approbation, donc je m'attends à ce que ce soit peut-être au deuxième jour après l'approbation, le 11 ou le 12 décembre", a-t-il déclaré.
20h45 : Entre 300 et 400 personnes se sont réunies sur le parvis de la cathédrale Saint-André à Bordeaux, indique France 3 Nouvelle-Aquitaine. Comme le week-end dernier, elles réclament l'autorisation des offices religieux, interdits depuis le deuxième confinement. Un rassemblement a eu également lieu à Limoges.
(FRANCE 3 NOUVELLE-AQUITAINE / YOUTUBE)
11h37 : Selon les chiffres de Santé publique France, la France a enregistré lors des dernières 24 heures 13 157 cas supplémentaires (contre 17 881 hier) et 215 décès à l'hôpital (contre 276 hier) liés au Covid-19. Dans la même lignée, le taux de positivité des tests (proportion du nombre de personnes positives par rapport au nombre total de personnes testées) a continué de baisser : 14% aujourd'hui contre 14,8% hier.
11h35 : Avec un peu de retard, voici un nouveau rappel des principaux titres :
• Le président de la République promet d'apporter de la "clarté" et "un cap" lors de son allocution de mardi. "Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin", estime-t-il dans les colonnes du Journal du dimanche.
• C'est la première fois que Jean-Michel Blanquer réagit aux publications de Libération et Médiapart, qui accusent le ministère de l'Education nationale d'avoir téléguidé le syndicat Avenir lycéen. "On voit bien que Libération et Mediapart essayent de faire une affaire à partir de rien", déclare le ministre sur RTL.
• Pour la première fois en France, la présence du nouveau coronavirus a été détectée dans un élevage de visons. L'abattage de 1 000 bêtes a été ordonné. L'Hexagone fait face à une "situation très différente de celle du Danemark", affirme sur franceinfo Julien Denormandie, le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation.
• Les Bleus ont dominé les Ecossais (22-15). C'est la première fois depuis 2014 que le XV de France s'impose à Murrayfield.
19h44 : Avec la crise sanitaire, la confiance que les Français accordent aux scientifiques perd 20 points, indique un expert de la fondation Jean Jaurès dans l'émission "C Politique", sur France 5.
19h36 : "En France, nous n'avons que 20 000 visons, dans quatre élevages. Nous les suivons au cas par cas avec une très grande précision", déclare Julien Denormandie sur franceinfo. "La protection de nos concitoyens nous impose de prendre ces mesures sanitaires", justifie-t-il sur franceinfo au sujet de l'abattage des 1 000 visons de l'élevage contaminé.
11h33 : Alors que la présence du coronavirus a été détectée dans un élevage de visons pour la première fois en France, et que l'abattage de 1 000 bêtes a été ordonné, l'Hexagone fait face à une "situation très différente de celle du Danemark", affirme sur franceinfo Julien Denormandie, le ministre de l'Agriculture.
18h29 : "Pendant la première vague de l'épidémie, entre la mi-mars et la mi-mai, il y a eu deux millions d'actes, d'examens, d'opérations qui ont été annulés, reportés, repoussés. C'est énorme. C'est du jamais vu."
Invité sur franceinfo, le président de la Fédération hospitalière de France alerte sur l'impact de l'épidémie de Covid-19 sur l'activité des hôpitaux et la prise en charge des autres pathologies. "C'est une situation qui doit nous interroger pour l'avenir et sur l'organisation des soins. On manque de moyens, on manque de flexibilité et de capacité de s'adapter à des pics épidémiques", déclare-t-il.
18h11 : Alors que le G20 promet de ne ménager "aucun effort" pour assurer la distribution équitable des vaccins contre le Covid-19, la chancelière allemande Angela Merkel se dit "inquiète" de la lenteur des discussions pour fournir le vaccin aux pays les plus pauvres.
18h00 : Il est 18 heures, que retenir de l'actualité ?
• Le président de la République promet d'apporter de la "clarté" et "un cap" lors de son allocution de mardi. "Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin", estime-t-il dans les colonnes du Journal du dimanche.
• Le pic de la deuxième vague de l'épidémie a-t-il déjà été franchi en France ? C'est ce qu'a affirmé Santé publique France, jeudi, relevant toutefois que "les indicateurs restent à des niveaux élevés". Pour mieux comprendre la situation, nous la détaillons dans cet article.
• Pour la première fois en France, la présence du nouveau coronavirus a été détectée dans un élevage de visons. L'abattage de 1 000 bêtes a été ordonné.
• L'Ecosse reçoit la France. Les Bleus mènent 22-15 à quelques minutes de la fin du match.
17h47 : Les traditionnels marchés de Noël ont été annulés dans de nombreuses villes allemandes. Pour sauver la saison, les commerçants de Landshut ont eu une idée : mettre en place un marché de Noël en drive. Menu en main, il est possible de faire déambuler son véhicule entre les stands, de repérer à bonne distance ses sucreries préférées, les crêpes ou les marrons grillés, puis de passer la commande.
(FRANCE 2)
17h26 : Un vaccin pour tous, vraiment ? Le G20 promet de ne ménager "aucun effort" pour assurer la distribution équitable des vaccins contre le Covid-19. Dans leur déclaration finale, les dirigeants du G20 assurent qu'ils soutiendront les pays pauvres, dont les économies ont été ravagées par la crise.
16h59 : Le pic de la deuxième vague de l'épidémie a-t-il déjà été franchi en France ? C'est ce qu'a affirmé Santé publique France, jeudi, relevant toutefois que "les indicateurs restent à des niveaux élevés". Pour mieux comprendre la situation, notre journaliste Valentine Pasquesoone la détaille dans cet article.

(LIONEL BONAVENTURE / AFP)
16h37 : Les acteurs de sport amateur veulent que leur rôle social soit reconnu et souhaitent que les activités reprennent. "On ne fait que du lien social", estime Éric Torrente, directeur d'un club de judo dans un quartier de la périphérie nord de Marseille. "Ce deuxième confinement a été très très compliqué, on a énormément de parents qui nous appellent, nous demandant de reprendre, il y a une très grosse pression", ajoute-t-il auprès de franceinfo.
16h35 : "A l'heure où nous parlons, les représentants de la filière entrent en contact avec les autorités afin de faire toute la clarté sur la situation", indique le porte-parole de La Fourrure française alors que, pour la première fois en France, la présence du coronavirus a été détectée dans un élevage de visons. Il assure que "la filière collaborera en toute transparence afin de garantir les meilleures conditions sanitaires pour les élevages et leur environnement".
15h45 : Les Etats-Unis espèrent commencer leur campagne de vaccination contre le Covid-19 avant la mi-décembre, sitôt obtenue l'approbation des autorités sanitaires. C'est ce que déclare aujourd'hui Moncef Slaoui, un haut responsable de l'opération gouvernementale pour les vaccins. "Notre plan est de pouvoir transporter les vaccins vers les sites d'immunisation dans les 24 heures suivant l'approbation", explique-t-il.
15h37 : Bonjour . Ces animaux sont abattus parce qu'une mutation du coronavirus, transmissible à l'homme, a été détectée dans des élevages danois. Cette variante du virus pourrait résister à un futur vaccin et perturber la gestion de l'épidémie. L'abattage vise à éviter qu'une telle mutation se produise dans cet élevage français.
15h38 : Bonjour FI, c'est quoi le problème avec les visons qui ont le Covid ? Ils peuvent le transmettre aux humains ? Mais d'autres animaux peuvent l'attraper comme les chats, pourtant on les tue pas ? Merci à vous !
15h28 : Invité ce midi sur franceinfo et France Inter, Jordan Bardella, vice-président du Rassemblement national, a jugé que la gestion de l'épidémie se faisait "au doigt mouillé" et s'est dit favorable à la levée du confinement pour les fêtes de fin d'année.

14h34 : Le pic de la deuxième vague de l'épidémie a-t-il déjà été franchi en France ? Notre journaliste Valentine Pasquesoone tente de répondre à cette délicate question dans cet article.

(LIONEL BONAVENTURE / AFP)
14h43 : La présence du coronavirus a été détectée dans un élevage de visons d'Amérique en Eure-et-Loir, annonce le ministère de l'Agriculture. Ce type de contaminations de visons par le Sars-CoV-2 a été principalement observé au Danemark, mais aussi dans d'autres pays européens comme les Pays-Bas ou la Suède. L'abattage de la totalité des 1 000 animaux encore présents sur l'exploitation a été immédiatement ordonné.
14h42 : Il est 14 heures, voici le point sur l'actualité :
• Dans les colonnes du Journal du dimanche, le président de la République promet d'apporter de la "clarté" et "un cap" lors de son allocution de mardi. "Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin", estime-t-il.
• Nouveau camouflet juridique pour Donald Trump. Un juge de Pennsylvanie a fermement rejeté les allégations de fraude électorale, ouvrant la voie à la certification des résultats dans cet Etat clé.
Rien ne va plus pour Alex Thomson. Doublé hier par Thomas Ruyant, le Britannique a alerté cette nuit sur un "problème possible de structure" sur son bateau, rapporte francetv sport.
• Jonathann Daval est condamné à 25 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme Alexia. Il ne fera pas appel, a annoncé son avocate.
12h15 : Il est un peu plus de midi, voici le point sur l'actualité :
• Dans les colonnes du Journal du dimanche, le président de la République promet d'apporter de la "clarté" et "un cap" lors de son allocution de mardi. "Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin", estime-t-il.
• Nouveau camouflet juridique pour Donald Trump. Un juge de Pennsylvanie a fermement rejeté les allégations de fraude électorale, ouvrant la voie à la certification des résultats dans cet Etat clé.
Rien ne va plus pour Alex Thomson. Doublé hier par Thomas Ruyant, le Britannique a alerté cette nuit sur un "problème possible de structure" sur son bateau, rapporte francetv sport.
• Jonathann Daval est condamné à 25 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme Alexia. Il ne fera pas appel, a annoncé son avocate.
11h20 : L'OMS s'inquiète. Dans la presse suisse, David Nabarro, envoyé spécial de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), prédit une troisième vague de l'épidémie de coronavirus début 2021 en Europe si les gouvernements reproduisent ce qu'il qualifie d'erreur face à la deuxième vague épidémique en cours. "La réaction de l'Europe a été incomplète", estime-t-il.
11h50 : Pour lever le confinement, le gouvernement planche sur un plan en trois étapes, indique ce matin dans Le Journal du dimanche le porte-parole du gouvernement. "Les assouplissements se feront en trois étapes au regard de l’évolution sanitaire et des risques liés à certaines activités : d’abord autour du 1er décembre, puis avant les congés de fin d’année, puis à partir de janvier 2021", déclare Gabriel Attal.
11h49 : "Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin. Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller".
Dans les colonnes du Journal du dimanche, le président de la République promet d'apporter de la "clarté" et "un cap" lors de son allocution de mardi.
09h44 : Cette méthode extrêmement simple "ne présente strictement aucun risque, ni aucun effet secondaire", selon le cardiologue du sport Laurent Uzan. Mais tant de simplicité peut parfois laisser sceptique. "Je dis aux gens 'prenez un guide respiratoire, il y en a sur internet ou sur les stores des smartphones, donnez-vous trois semaines, prenez 15 minutes par jour et vous verrez ce qu'il se passe'", argumente David O'Hare, médecin et spécialiste de la cohérence cardiaque.
(PHID / YOUTUBE)
09h44 : "C'est une technique de respiration qui permet de remettre son système nerveux à zéro. Elle permet de se calmer, de se relaxer, de se reposer."
Venue des Etats-Unis, cette technique "permet de remettre son système nerveux à zéro", explique Florence Servan-Schreiber. Pour faire simple, à chaque inspiration, le système nerveux sympathique est activé et la fréquence cardiaque augmente. Lors de l'expiration, le système nerveux parasympathique s'active et la fréquence cardiaque baisse, le cœur ralentit. "Avec la cohérence cardiaque, on n'appuie sur aucune pédale, ni sur celle de l'accélérateur, ni sur celle du frein", assure-t-elle.
09h43 : Alors que la crise du Covid-19 n'en finit plus et que cette épidémie "est stressante, anxiogène et peut générer une souffrance psychologique pour nombre d'entre nous", comme l'a assuré le directeur général de la santé, Jérôme Salomon, une nouvelle méthode pour combattre le stress fait son chemin en France depuis une dizaine d'années : la cohérence cardiaque.

(JESSICA KOMGUEN / FRANCEINFO)
11h45 : A la une de la presse ce matin, Le Journal du dimanche revient sur la gestion de la crise sanitaire à l'Elysée.

09h00 : On commence par un premier point sur l'actualité :
• Nouveau camouflet juridique pour Donald Trump. Un juge de Pennsylvanie a fermement rejeté les allégations de fraude électorale, ouvrant la voie à la certification des résultats dans cet Etat clé.
• L'Agence américaine des médicaments (FDA) accorde en urgence une autorisation à un traitement aux anticorps de synthèse contre le Covid-19 de la société Regeneron. Ce traitement avait été utilisé pour soigner le président Donald Trump.
• Des milliers de manifestants ont participé hier à des rassemblements dans plusieurs villes de France, de Paris à Toulouse en passant par Montpellier, Lille, Nancy, Rennes ou encore Saint-Etienne.
• Jonathann Daval est condamné à 25 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme Alexia. Il ne fera pas appel, a annoncé son avocate.