Un cinéma associatif de Machecoul, en Loire-Atlantique, n’attend que le feu vert pour sa réouverture. 45 000 spectateurs s’y rendaient chaque année avant la crise sanitaire, alors pour retrouver ce flot de passionnés, il faut rassurer. L’exploitant n’a pas hésité à investir quelque 3 000 euros dans un purificateur d’air dernier cri. "Il faut que les gens soient sécurisés, quand ils reviennent chez nous. Alors, il y a tout un système (…) ça va être un bon complément", précise Jean-Pierre Louis.Un procédé très simpleLa tendance à se protéger du virus fait le jeu d’une entreprise de la région qui s’attaque à la pollution de l’air depuis dix ans. Le procédé est très simple. "L’air est aspiré à travers le filtre, passe à travers notre turbine et ressort purifié de l’appareil dans la pièce", explique une employée. Les commandes se multiplient, tout comme les embauches.