Les pistes de danse vont à nouveau être vidées. Selon le gouvernement, les discothèques ne permettent pas une assez grande distanciation sociale. Une décision jugée trop radicale par les patrons de boîtes de nuit. "Encore une fois, on cible les discothèques qui représentent 1 200 établissements en France, en pensant que les jeunes vont arrêter de faire la fête. C'est d'une hypocrisie", déplore Thierry Fontaine, président de l'union des métiers et des industries de l'hôtellerie du Rhône.Indemnisations prévuesLe gouvernement s'engage à indemniser les discothèques et autres secteurs touchés par cet arrêt. Chez les restaurateurs et les commerçants, le soulagement est présent alors qu'ils craignaient l'instauration de nouvelles jauges, voire un confinement. Pour les marchés de Noël en revanche, et les rassemblements en revanche, le pass sanitaire pourra être demandé, sur décision des préfets.