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Covid-19 : "Je regrette qu'il n'y ait pas eu plus de mesures qui soient mises en œuvre" pour l'hôpital, réagit Fabien Roussel

Les nouvelles annonces du gouvernement sont "des mesures qui appellent les Français à continuer les gestes barrières et à se faire vacciner" uniquement, a estimé Fabien Roussel.

Article rédigé par franceinfo
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Fabien Roussel, secrétaire national du PCF et candidat à la présidentielle. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

"Je regrette qu'il n'y ait pas eu plus de mesures qui soient mises en œuvre" pour l'hôpital, a réagi lundi 6 décembre sur franceinfo Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste français (PCF) et candidat à la présidentielle, après l'annonce de nouvelles mesures par Jean Castex et Olivier Véran pour lutter contre le Covid-19. Le Premier ministre a notamment annoncé le renforcement du protocole sanitaire dans les écoles, la fermeture des discothèques pendant un mois, et a appelé à "lever le pied" dans les interactions sociales.

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"Je regrette que l'hôpital craque, a déploré Fabien Roussel, nous avons des soignants qui sont épuisés et qui ont besoin d'être soutenus. Il y a encore des lits qui sont supprimés, des services d'urgence qui sont supprimés. Il faut un grand plan de soutien en faveurs de nos soignants qui sont en première ligne depuis près de deux ans." Les annonces de ce lundi soir sont "des mesures qui appellent les Français à continuer les gestes barrières et à se faire vacciner" uniquement, a estimé Fabien Roussel.

Le gouvernement en appelle à la responsabilité des Français et évite des mesures trop restrictives. "Il faut avoir un message bienveillant en direction de ceux qui font le choix de se vacciner, a poursuivi le candidat PCF à la présidentielle. C'est un choix personnel pour se protéger mais aussi un choix collectif qui permet d'empêcher que le virus se transmette et d'éviter la saturation des hôpitaux."

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