Cet article date de plus de trois ans.

Covid-19 : première réunion du collectif citoyen sur le vaccin

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 3min
Covid-19 : première réunion du collectif citoyen sur le vaccin
Covid-19 : première réunion du collectif citoyen sur le vaccin Covid-19 : première réunion du collectif citoyen sur le vaccin (France 3)
Article rédigé par France 3 - Y.Marie, S.Adam, A.Gavin, A.Bourse
France Télévisions

Marjorie, une habitante d’une commune rurale de la Drôme, en position d’invalidité, a été choisie pour faire partie du collectif citoyen, créé afin de réfléchir à la campagne de vaccination en France.

Marjorie est originaire de La Motte-de-Galaure, dans la Drôme. Elle a été tirée au sort pour faire partie du collectif de 35 citoyens amenés à réfléchir sur la campagne de vaccination contre le Covid-19. Désormais, trois jours par mois, direction Paris pour poser toutes ses questions. Cet appel l’a prise au dépourvu. "J’ai demandé à quel moment ils allaient me demander ma carte bleue", se souvient-elle. "Quand ils ont dit aux infos qu’il allait y avoir un collectif citoyen, je me suis dit que ça ne pouvait pas tomber sur nous, qu’ils allaient prendre des "gros", des PDG, des gens qui s’y connaissent", poursuit-elle. 

Un comité qui reflète la diversité des Français

Au début angoissée par cette nouvelle mission, elle a commencé à débroussailler le sujet pour être prête. "On dit souvent qu’on n’est pas écoutés, mais là on nous dit qu’on peut poser des questions et dire ce qu’on ressent autour de nous, ce n’est pas tous les jours". Première réunion samedi 16 janvier à 16 heures pour ce comité, sous la houlette d’Alain Fischer, le "monsieur vaccin" du gouvernement. Ces 18 femmes et 17 hommes, pro et anti-vaccins, mais aussi indécis, "doivent représenter la société française dans sa diversité", précise la journaliste Anne Bourse en direct du Conseil économique social et environnemental (CESE), où les travaux de cette convention ont déjà commencé.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.