Cet article date de plus de dix ans.

Salon mondial du tatouage : les dernières tendances

Publié
vidéo : 50min
Ce replay n'est plus disponible.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions

Le Mondial du tatouage se tient pendant ce week-end à La Villette. Depuis quelques années, le tatoo n'est plus un tabou. Une personne sur dix s'est laissée tentée. Ce n'est pas seulement une question d'esthétique. Un tatouage peut aussi marquer un moment de vie, une étape, faire passer un message.

Les premiers rayons de soleil découvrent les tatouages des clients de cette terrasse de Bordeaux.

Y'a le côté pièce unique, l'esthétique. Je trouve que ça m'embellit.

C'est une larme avec un scorpion, ça a choqué certaines personnes. Ça fait partie de moi, je ne fais plus attention au regard des gens.

Parmi ces jeunes gens, beaucoup en portent, visibles ou invisibles.

C'est la Guyane car j'y suis né, je voulais le marquer sur moi.

Y'a un côté sexy pour les filles et les mecs. Un homme avec de beaux tatouages, on aura toujours un regard un peu traînant envers lui.

Dans ce salon, cette jeune fille choisit un motif polynésien qui représente l'amour et les membres de sa famille.

Je regretterai pas, c'est quelque chose que j'aime. Je représente mes frères.

Pour ce garçon, ce samouraï symbolise sa victoire contre le cancer.

Je me suis dit que si je m'en sortais, je ferais un tatouage. J'ai fait ça pour me dire que j'ai vaincu la mort.

La clientèle est de plus en plus diversifiée.

Des personnes se font tatouer car c'est bien sur la plage.

Ça vous gène un peu.

Je ne suis pas dans cette éthique. Un tatouage, on le grave sur sa peau a vie et qu'on ne doit pas regretter.

C'est a la quarantaine que ce coiffeur a osé un tatouage de grande taille.

Je sais où va ma carrière, je pouvais faire cette grosse pièce maintenant.

La France n'est pas le pays le plus tatoué d'Europe, le phénomène est plus développé en Grande-Bretagne ou Pays-Bas.

Suite et fin de notre feuilleton sur la route du mimosa.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.