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Après les fêtes place à la galette

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Les fêtes sont à peine digérées qu'il est l'heure de la galette. Un numéro d'équilibriste pour ceux qui se remettent tout juste. Pour en parler : Hervé Robert, nutritionniste, co-auteur de Tout sur le chocolat (éd. Odile Jacob, 2009) et Gontran Cherrier, artisan boulanger-pâtissier, co-auteur de La meilleure boulangerie de France (M6 Editions, à paraître février 2014).

Bernard Thomasson

Radio France

Publié le 06/01/2014 12:35 Mis à jour le 09/05/2014 23:31

Temps de lecture : 1min

Les fêtes sont l'occasion de se laisser aller et des partager
de nombreux mets à table. Mais souvent, elles font place à un sentiment de
lourdeur, de trop plein alimentaire. "Un sentiment normal, car l'organisme
un peu trop de gras, d'alcool, qu'il a du mal à gérer ", explique Hervé
Robert, nutritionniste. "Le repas de fête est assez figé en France et les
menus sont souvent les mêmes : foie gras, huitres, dinde, bûche. Ce qu'il
faut éviter ce sont les gros contrastes : un régime avant les fêtes, puis
les fêtes, puis à nouveau un régime. "

La galette

Star du début d'année, la demande est de plus en plus
précoce. Mais Gontran Cherrier, artisan boulanger-pâtissier, respecte la règle
et n'en met pas en vente avant le 2 janvier. L'épiphanie est fêtée le premier
dimanche de janvier. "C'est la plus grosse journée de vente de galette.
Sur une boutique, on est entre 300 et 400 galettes en un week-end, "
explique Gontran Cherrier.