La vengeance du cocu

L’autre info est en Grande Bretagne ce matin…

Oui le 20 minutes suisse reprend une histoire sortie par le tabloïd The Sun qui va vous faire passer à toutes et tous l’envie de tromper votre conjoint

Que s’est-il passé ?

Chris, 42 ans, a décidé de se venger de son épouse, Emily, 34 ans, qui le trompe visiblement avec un collègue du boulot. Elle bosse dans une agence de voyage de Londres, Travelzoo. Chris s’est donc connecté sur la messagerie de sa femme et a envoyé un mail en son nom à l'ensemble des membres de sa boîte. Il parle à la première personne et avoue tout. Dur dur pour la femme et l'amant...

Mais c’est affreux

Mettez vous à sa place. Chris a juste eu une idée que le progrès technologique a rendu possible. Il a piqué le smartphone professionnel de sa femme. Il s’est connecté à son compte de messagerie qui n’était visiblement pas verrouillé. Là, il a écrit un mail à la première personne comme s’il était Emily et il l’a balancé à 25 des collègues de sa femme. Déjà l’intitulé du mail est pas mal : "coucher à droite à gauche ". Ensuite ça commence comme ça : "bonjour tout le monde, je pensais que ça vous intéresserait de savoir que je couche avec Simon S. du bureau de Manchester depuis six mois ." Chris continue au nom de sa femme : "même lorsque mon mari m'a surprise à deux reprises, je lui ai menti et l'ai convaincu de me donner une autre chance. J'ai pensé que vous apprécieriez de savoir avec quel genre de personne vous travaillez. Joyeux vendredi" . Alors le couple s'est séparé après l'envoi de cet e-mail. L'amant d'Emily, lui, a été mis dehors par sa femme après 17 ans de mariage. Quant aux deux amants, apparemment, ils continuent de bosser ensemble. Leur employeur, Travelzoo refuse de commenter davantage l’affaire considérant cela comme une affaire personnelle entre les individus impliqués. La leçon est simple. Prenez un amant ou une maîtresse, ça vous regarde. Mais ne laissez jamais votre messagerie professionnelle ouverte, accessible. Quant au pauvre Chris, il peut quand-même se consoler en se disant comme l’humoriste Alphonse Allais : "il vaut mieux être cocu que veuf : il y a moins de formalités ! "