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La loi sur les stages menace-t-elle l'emploi des diplômés de grandes écoles ?

La nouvelle loi sur les stages menace-t-elle l’insertion professionnelle des diplômés de grandes écoles de commerce et d’ingénieurs ? C’est ce que craint la Conférence des grandes écoles, qui vient de rendre publics les résultats de son enquête annuelle sur l’emploi.
Article rédigé par Emmanuel Davidenkoff
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (© Conférence des grandes écoles)

 Pour en savoir plus :

  • l'enquête insertion 2014 de la Conférence des grandes écoles (CGE)

  • un article des Echos sur l'enquête d'insertion 2014 de la CGE

    "« Les employeurs ne font pas de cadeau » , soulignait ce mardi le directeur général d’HEC Paris, Bernard Ramanantsoa, en présentant l’enquête annuelle de la Conférence des grandes écoles (CGE) sur l’insertion des jeunes diplômés (voir document ci-dessous). Ceux qui sont sortis des grandes écoles en 2013 perçoivent ainsi, dans l’ensemble, une rémunération de 36.650 euros (salaire brut annuel moyen avec primes pour un travail en France) alors qu’un an plus tôt ceux de la promotion 2012 touchaient 37.083 euros" Lire la suite

  • une interview du président de la CGE à propos de la loi sur les stages sur educpros

    "Dire que nous sommes inquiets est un euphémisme. Nous craignons que cette mesure ait un effet dissuasif à l'égard des entreprises et en particulier des TPE , qui constituent des lieux d'accueil pour les étudiants de nos écoles.

Est-il préférable de placer trois stagiaires avec un porteur de projets qui leur consacre tout son temps dans une start-up incubée au sein de l'école ou de diluer trois stagiaires dans un service de 100 personnes ? Je ne saurais le dire. Je ne peux pas réduire ma réponse à une approche quantitative, un quota, au risque d'aboutir à un système à n indicateurs. C'est ce que j'appelle une usine à gaz ." Lire la suite.

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