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Le rap français et le libéralisme économique

Tout l'été, cette chronique explore des recoins inattendus de notre patrimoine populaire, avec un invité permanent, Vincent Delerm. Aujourd'hui, évoquons un paradoxe chez les rebelles du micro.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
  (Maître Gims à Milan le 10 mai 2016 © Francesco Prandoni -GettyImages)

Longtemps, dans les films, les séries télévisées, les chansons, les romans-photo dits "de droite", on voyait du luxe et du pognon. Dans la culture "de gauche", on défendait de vraies valeurs de travail, d’égalité et surtout de solidarité.  Et on a été très contents de voir arriver le rap et les musiques dites urbaines, parce que c’était la voix des opprimés. Et puis, une bonne partie du hip hop français a simplement défendu les valeurs les plus sommaires du capitalisme.

 

Dans cette chronique, vous entendez des extraits de :

 

Maître Gims, Zoum Zoum, 2016

Maître Gims, Zoum Zoum, 2016

IAM, Le Nouveau Président, 1991

Alonzo (feat. Booba), Même tarif, 2015

Vincent Delerm lit Même tarif, 2016

Nekfeu, Question d'honneur, 2015

Vincent Delerm lit Question d'honneur, 2016

Keny Arkana, Une seule humanité, 2016

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

 

Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et France Info.

 

 

  (dico bd ok)

 

Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

 

Toute l’année, de la fin août à mi-juillet, vous pouvez écouter notre chronique qui explore les grandes thématiques évoquées par la chanson, Ces chansons qui font l'actu. 

 

 

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