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Charles Trenet et ses précautions sous l'Occupation

Tout l'été, cette chronique explore des recoins inattendus de notre patrimoine populaire, avec un invité permanent, Vincent Delerm. Aujourd'hui, parlons de Charles Trenet et de sa prudence sous Vichy.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
  (Après la guerre, Charles Trenet répondra à l'appel du large, comme ici au Québec en 1946... © Conrad Poirier — Domaine public)

 C’est l’histoire d’un chanteur débutant qui a le trac au moment de monter sur scène. Il s’appelle Jean Papillon mais son rôle est tenu par Charles Trenet qui lui donne évidemment quelques nouvelles chansons. Le film s’intitule Romance de Paris et il sort dans les salles parisiennes le 3 octobre 1941.

On peut avoir envie, aujourd’hui, d’interpréter à son tour la chanson Un rien me fait chanter, on trouvera dans les recueils des paroles qui ne ressemblent guère à ce que l’on entend dans le film…

 

 

Dans cette chronique, vous entendez des extraits de :

 

Charles Trenet,Un rien me fait chanter (dans le film Romance de Paris), 1941

Vincent Delerm lit Un rien me fait chanter, 2016

Charles Trenet, Un rien me fait chanter (dans le film Romance de Paris), 1941

Charles Trenet, Un rien me fait chanter , 1941

Jacques Haurogné, Un rien me fait chanter , 2013

Henri Jossy, La Marche des jeunes, 1942

Vincent Delerm lit La Marche des jeunes, 2016

Charles Trenet, La Marche des jeunes, 1951

Charles Trenet, Un rien me fait chanter , 1941

 

 

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  (dico bd ok)

 

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