: Vidéo Solidarité : "la finance est un outil pour changer les choses" selon Nicolas Hazard
Invité de Jean-Paul Chapel dans ":L’éco" mercredi 29 mars, Nicolas Hazard, fondateur du comptoir de l’innovation, présente la 6e édition d'Impact2, le forum mondial sur l’entrepreunariat social : solidarité et rentabilité sont-elles compatibles ?
"La finance sociale et solidaire c’est investir dans des entreprises qui font du sens, qui créent de l’emploi et en même répondent à des problématiques sociales" Nicolas Hazard, fondateur du comptoir de l’innovation, évoque ses ambitions d’entrepreneur social français, mercredi 29 mars sur le canapé gris de ":L’éco".
Il poursuit : "c’est possible d’allier création d’emploi, impact social et rentabilité financière. Aujourd’hui, on vise une rentabilité de 5 %. Ce sont des entreprises résilientes notamment en période de difficulté économique et qu’elles créent parfois plus d’emplois que des entreprises traditionnelles."
"1% de la finance mondiale"
Le consensus mou comme plan de carrière ? En réponse à la Question qui fâche Nicolas Hazard riposte : "mon objectif est de changer le monde et de créer une nouvelle économie qui soit plus inclusive et durable. Pour cela il faut travailler avec tout le monde : les entreprises, les pouvoirs publics, les start-upeurs. C’est plus facile de cliver que de rassembler et réunir."
A la une des magazines et chouchou de la maire de Paris, faut-il savoir séduire pour faire de la finance ? C’est l’objet de la Question perso : "en tout cas il faut savoir convaincre ! L’idée c’est qu’on travaille avec l’actrice Charlize Theron sur des projets en Afrique du Sud, Arnold Schwarzenegger très impliqué dans l’environnement…"
Comme à son habitude, Jean-Paul Chapel termine l’interview par la chanson préférée de l’invité. Nicolas Hazard a choisi le rythme électro de Petit Biscuit avec Sunset Lover : "un jeune de 17 ans qui exporte le génie français partout, une jeune pousse lui-même et un futur très grand !"
":L'éco" vous donne rendez-vous du lundi au jeudi à 9h20 sur Franceinfo.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.