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Les réactions au traitement médiatique des débordements du Trocadéro

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Lundi 13 mai, la victoire de l'équipe de foot du Paris Saint-Germain a fait parlé d'elle, pas seulement parce que la dernière victoire du PSG en championnat de France remonte à 1994... Les débordements des casseurs ont notamment ciblé les journalistes.
Article rédigé par
Radio France
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Entre désarroi, tristesse, colère et déception,  les réactions des auditeurs concernant la fête gâchée du club de foot parisien au Trocadéro n'ont pas tardé à fleurir sur la toile.

L'un regrette l'amalgame alimenté par certains journalistes ayant
utilisé le mot " jeune " là où il n'y avait, selon eux, qu'une
minorité de " casseurs " ou de "voyous ". L'autre croit deviner que le tapage médiatique est étroitement lié au club en question et à la capitale, les principaux médias étant principalement situés à Paris. Le dernier pense que c'est à cause de la peur bleue de certains journalistes sur place qu'on en a tant parlé.

Pour y voir plus clair, Jérôme Bouvier a demandé à Julien Langlet,
journaliste sportif qui couvrait l'évènement lundi soir, des précisions sur le
déroulement de la soirée. Les
journalistes ont-ils eu si peur qu'on le dit ? Ont-ils ressenti une hostilité particulière
des supporters à leur égard ? Ces débordements auraient-ils pu être évités comme l'ont laissé entendre plusieurs médias, à l'image duParisien , qui titrait dès le lendemain des débordements : "C'était prévisible " ?

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