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Elizabeth II, une reine devenue icône de la pop culture

On trouve son visage sur des timbres, des tableaux d'Andy Warhol et des affiches de série Netflix : comment une monarque aussi traditionnelle que la reine d'Angleterre est-elle devenue une source d'inspiration pour les artistes ? On se pose la question dans le Quart d'Heure à l'occasion des festivités de ses 70 ans de règne. On revient aussi sur la polémique suscitée par les "job dating" de professeurs, et sur le déconfinement qui arrive (enfin) pour les 25 millions d'habitants de Shanghai. 

Article rédigé par franceinfo
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Un tableau "Elizabeth II" de la collection Reigning Queens d'Andy Warhol, lors d'une vente aux enchères chez Christie's le 26 mars 2021 à Londres.  (DAVID CLIFF / NURPHOTO)

1.500 militaires, 250 chevaux, 70 avions et 124 coups de canon... Voilà le programme de la grande parade militaire prévue demain dans le coeur de Londres. Un programme royal pour la souveraine la plus célèbre du monde, qui fête ses 70 ans de règne et qui n'a peut-être jamais été aussi populaire. Son visage, reconnaissable dans le monde entier, s'affiche sur les timbres, les pièces de monnaie, les billets mais aussi dans des films et des séries télé : Claire Foy, Kristin Scott Thomas, Olivia Colman ou encore Emma Thompson ont incarné au théâtre ou à l'écran la monarque aux chapeaux multicolores. Pourquoi un tel engouement ? Marion L'Hour, journaliste à franceinter et autrice de "My Diary, le journal de la Reine" (éditions Flammarion) décrypte la popularité d'une reine dont personne ne connaît vraiment les pensées.

Shanghai respire à nouveau

Pendant ce temps-là, en Chine, un immense soupir de soulagement provient de Shanghai : les 25 millions d'habitants sont (enfin) déconfinés après deux mois de mesures hyper-restrictives et très mal vécues par la population. Sébastien Berriot, correspondant de franceinfo en Chine, nous raconte l'ambiance en ce premier jour de retour à la vie (presque) normale.

Education nationale cherche professeurs

Et puis, on revient sur les remous suscités par les sessions de "job dating" organisés par les rectorats de Toulouse, Poitiers et Versailles pour recruter de nouveaux professeurs : 30 minutes d'entretien ouverts à tous les titulaires d'un Bac+3. Ce dispositif provoque la colère des enseignants et des syndicats, qui dénoncent la dévalorisation du métier et le manque de formation de ces néo-professeurs.

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