La vie après la catastrophe de Brétigny
Fin
septembre, le procureur d'Evry fera le point sur l'enquête. La piste privilégiée est celle d'une éclisse qui aurait bloqué un aiguillage. La justice aurait ainsi relevé au moins une quarantaine d'anomalies "de degrés divers" à ce niveau.
Mais deux mois
après la catastrophe, nous avons voulu savoir comment se portent ceux qui se
trouvaient dans le Téoz n°3657. Nous avons retrouvé deux de ces passagers.
Ils sont
encore, évidemment, très marqués. Sabine était
dans le quatrième wagon, celui qui s'est couché sur le côté dans l'accident, et où deux personnes ont été tués. Jean-Robert
était dans la dernière voiture, celle qui s'est encastrée dans la
précédente et qui a fauché les voyageurs qui se trouvaient sur le quai.
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