Une "agence d'objets connectés"La start up Enero se présente comment une "agence des objets connectés". Elle conçoit et fabrique des objets connectés pour le compte d’autres sociétés, start up ou grands groupes. On lui doit notamment le bouton connecté Domino de La Poste, qui permet d’envoyer des plis en les déposant dans sa propre boîte aux lettres, ou encore la télécommande pour chauffage connectée Sowee, réalisée pour le compte d’EDF.Ne pas réinventer la roue à chaque foisLa création d’objets connectés fait appel à de nombreuses briques (électronique, logiciel, design, etc.) et il n’est pas forcément simple ni rentable, pour une entreprise dont ce n'est pas l'activité principale mais qui souhaite développer un objet connecté, de partir de zéro et de "réinventer la roue". Enero capitalise sur des process d'industrialisation de l’objet connecté, même si chaque commande est spécifique. Cela permet d’aller beaucoup plus vite.Une "French Touch"Selon les co-fondateurs d’Enero, Olivier Mével et Marc Chareyron, il existe bien une "french touch" en matière d’objets connectés. Celle-ci se caractérise par un haut niveau d’ingénierie et aussi dans des codes design qui commencent à faire école.