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"Le Voyageur et la Tour. Le lecteur comme métaphore", d'Alberto Manguel

L'écriture a été inventée il y plus de 5.000 ans en Mésopotamie, à peu près l'Irak d'aujourd'hui. Depuis, elle a connu de nombreux bouleversements, des signes aux supports. A la veille de l'ouverture du Salon du Livre de Paris, qui se tient en partenariat avec Radio France et qui fêtera cette année la littérature argentine, le très grand écrivain et intellectuel argentin, Alberto Manguel, s'interroge, dans son nouveau livre, sur les relations entre les sociétés et l'écrit.
Article rédigé par Philippe Vallet
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Une brillante réflexion qui ouvre le débat sur le livre et la lecture numérique.

Résumé : De l'Europe humaniste de la Renaissance à la Chine de la Révolution culturelle, en passant par l'époque des utopies communautaires des XVIIIe et XIXe siècles, Alberto Manguel propose une méditation plus que jamais nécessaire sur la notion de citoyen-lecteur et l'importance de la lecture en tant qu'indispensable instrument de déchiffrement d'un monde chaotique et toujours plus "inédit".

Le Voyageur et la Tour. Le lecteur comme métaphore , d'Alberto Manguel, traduit de l'anglais par Christine Le Bœuf est publié par Actes Sud.

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