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"La dame aux vitraux" de Charles Petit

Habituellement quand on écrit c'est pour être publié, ce n'était pas le cas du juge d'instruction Charles Petit. Pendant une partie de sa vie, cet homme a écrit des romans policiers qu'il n'a montrés à personne, pensant qu'ils n'étaient pas assez bons.
Article rédigé par franceinfo
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L'écrivain Olivier Fribourg a découvert ces manuscrits, il a été tout de suite séduit et a donc décidé de les publier.

Note de l'éditeur :

La Dame aux vitraux et Le Pont rouge . Le premier se passe dans une ville
de province pendant les années 50, le second dans les années 90 sur les
bords du lac Léman.
À chaque fois, le héros ou le narrateur est un
juge et à chaque fois il y a un crime. Ces deux romans sont aussi deux
histoires d'amour contrarié. Dans La Dame aux vitraux , un juge revient
dans une ville — partagée entre la ville haute et la ville basse — où il
a follement aimé Virginie qui préparait une thése sur les vitraux en
Champagne. Ce retour va être l'occasion pour lui de revenir
involontairement sur un meurtre qu'il avait jugé. Virginie était athée,
le juge avait reçu une éducation catholique. Elle décida de rompre sans
soute parce qu'elle était mariée. Le juge ne s'en remit pas.
Dans Le
Pont rouge
, Violette, une ancienne greff!ère vient passer quelques jours
de vacances chez son ancien Président de tribunal. Elle a multiplié les
amants et a toujours été déçue. Il est veuf. Pendant son séjour, une
jeune fille est assassinée après une tentative de viol. Qui sommes-nous
pour juger ? Qu'est-ce que la véritable innocence ? L'amour peut-il
racheter le crime originel ?

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