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"La compagne de Russie", d'Edouard Moradpour

La disparition d'un être aimé peut modifier du tout au tout le regard qu'on porte sur la vie. C'est ce que montre Edouard Moradpour, qui passe pour le Jacques Séguéla russe, dans un premier roman quasi autobiographique.
Article rédigé par Philippe Vallet
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
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Un livre d'amour où se mêlent le spiritisme et la découverte de valeurs éternelles.

La compagne de Russie , d'Edouard Moradpour est publié aux éditions Michalon (254 p., 20E) Note : ****

Le Mot de l'éditeur

Alexandre, brillant publicitaire français, partage son temps entre Moscou et Paris. Rapidement, il s'imprègne de la Russie postcommuniste, attaché à ses femmes découvrant les excès, les tourments de Moscou. Une succession de portraits de nombreuses jeunes femmes russes, toutes, tour à tour, plus ou moins mystérieuses, conquises ou entretenues par Alexandre, incapable de les aimer, mais trop faible pour les quitter.

En pilier et tournant de l'intrigue, le suicide inexpliqué de la jeune et belle Aliona va jouer un rôle fondamental dans l'évolution du héros.

Cette transformation le conduira dans des voies jusqu'ici méconnues de lui. Parviendra-t-il à s'extraire de l'emprise fascinante des poupées russes, elles-mêmes en quête de stabilité, de reconnaissance, de maternité, et auprès de qui elles espèrent trouver enfin un but ?

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