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Pécresse : "s’il s’avérait nécessaire de réviser la croissance, nous le ferions"

Valérie Pécresse estime que rien n'est tabou sur les prévisions de croissance en France au moment où se discute la loi de finance 2012. La ministre du budget ajoute que "s’il s’avérait nécessaire de faire des efforts supplémentaires, nous les ferions". Elle pense par ailleurs, que les banques françaises ne sont pas "très exposées à la dette grecque".
Article rédigé par Célyne Baÿt-Darcourt
Radio France
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Temps de lecture : 1min
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Sommet européen du week-end

"Nous progressons sur la voix d’un accord […] La France a rendez-vous mercredi avec son histoire, l’histoire de l’Europe [...] Ca progresse […] On est aujourd’hui en train d’avancer vers un accord où les partenaires privés, les banques, acceptent de renoncer à une partie plus importante de la dette grecque".

Les banques et la dette

"Les banques françaises ne sont pas très exposées à la dette grecque [...] Elles peuvent faire face à ce risque grec".

Le Fond Européen de Stabilité Financière

"Sur l’Italie, l’Espagne et tous les pays de la zone euro, nous avons un devoir de redressement de nos comptes".

Budget de la France

"Rien n’est tabou […] La révision de la croissance n’est pas tabou […] S’il s’avérait nécessaire de réviser la croissance, nous le ferions, s’il s’avérait nécessaire de faire des efforts supplémentaires, nous les ferions […] Notre objectif de réduction du déficit, il est intangible".

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