"Dans la situation d'aujourd'hui, le candidat c'est François Hollande. Si on commence deux ans avant à déstabiliser le président de la République, ça ne fonctionnera pas. Il est président. Je ne vois pas comment on peut faire autrement que d'avoir François Hollande candidat" a déclaré Marylise Lebranchu qui est une proche de Martine Aubry. Et sur l'organisation des primaires, elle s'est déclarée d'accord avec la position de Thierry Mandon, "qui est de dire : 'il faut qu'il y ait des primaires non pas au sein du Parti socialiste mais avec la gauche, pour ne pas qu'il y ait trois ou quatre candidats au premier tour." A la question allez-vous réduire le nombre des fonctionnaires, la ministre de la Fonction publique a été catégorique : "Non ". Quant à la masse salariale de ces mêmes fonctionnaires, "elle est gelée" . Djihadistes français : "Comment mieux écouter les parents ?" L'ex-ministre de la Justice a aussi commenté, sans la rejeter, la proposition de l'UMP Valérie Pécresse de créer des centres de désendoctrinement pour le retour des djihadistes français : "Ça m'a paru être une idée à regarder. Mais moi j'aimerais qu'ils ne partent pas. Comment mieux écouter les parents ?" A LIRE AUSSI ►►► Pécresse veut des "centres de désendoctrinement" pour les djihadistes français