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Voitures "très basse consommation" : elles imposent des sacrifices

Tous les constructeurs cherchent à réduire les consommations. Ce qui aboutit à des définitions de voitures qui peuvent surprendre – notamment pour les options...
Article rédigé par Jean-Rémy Macchia
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Tous les constructeurs se battent pour diminuer les consommations – ne serait-ce que de quelques centilitres : cela fait baisser les émissions de CO2.
Une des solutions, c'est de réduire le poids des voitures.
Réduire le poids, c'est – bien sûr –  un travail sur les matériaux, sur la conception générale.
Mais c'est, aussi, supprimer des équipements. En particulier, sur les modèles très "basse consommation".

Dans les options "incompatibles", quelques surprises...

Le plus surprenant – dans les options "supprimées" – c'est de trouver des tapis de sol, unaccoudoir avant, ou des antibrouillards !
Et puis, il y a des aberrations dans la réglementation : si vous voulez un crochet d'attelage – cela pèse 20 kilos.
L'option peut être supprimée, chez le constructeur. Mais si vous voulez réellement tracter une remorque, le crochet d'attelage, vous allez quand même l'acheter.
Et les 20 kilos supplémentaires, vous les aurez !
Les homologations peuvent sembler assez artificielles, lorsqu'elles se basent sur des définitions de voitures qui, finalement, ne seront pas celles des automobilistes...

En Bref...


Un avenir "chinois" pour Peugeot ?

Le groupe PSA a un besoin urgent de liquidités.
Depuis plusieurs jours, une hypothèse de financement circule : un financement par le partenaire historique de Peugeot, en Chine : Dongfeng.
1 milliard et demi d'argent frais serait injecté.
Et, dans le même temps, l'Etat français apporterait également 1 milliard et demi d'euros – histoire que les Chinois ne prennent pas une part trop importante, dans le capital de Peugeot.
Affaire à suivre : on en saura plus dans les jours qui viennent.

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