Les "indigènes du BTP" exigent une retraite décente
On dit d’eux qu’ils sont les grands oubliés de la période faste
des trente glorieuses. Arrivés à l’âge
de vieillesse, épuisés physiquement, certains sont tombés dans une très grande
précarité, une solitude que dénonce aujourd’hui Manuel Pinto de l’association
laïqueLes petits frères des pauvres , basée à Marseille.
A Paris, dans le quartier de Belleville, le café social
accueille et accompagne depuis 10 ans, une cinquantaine d’anciens travailleurs
en rupture sociale. Son fondateur Moncef Laibidi dénonce, quant à lui, un échec plus large de la
politique d’intégration en France.
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