Clémentine Célarié, héroïne de "Lebowitz contre Lebowitz" sur France 2 : "Un tel personnage est jouissif à incarner"
La comédienne Clémentine Célarié joue dans une nouvelle saison de la série judiciaire, "Lebowitz contre Lebowitz" sur France 2, où elle incarne une avocate "méchante" et "dure" avec sa collaboratrice. Elle est l'invitée d'Info médias mercredi sur franceinfo.
Clémentine Célarié retrouve sa robe d'avocate mercredi 14 février à 21 heures sur France 2 dans la série judiciaire "Lebowitz contre Lebowitz". Une nouvelle saison de huit épisodes. L’histoire de deux avocates ennemies qui sont malgré tout associées dans un cabinet. "On s’éclate avec Caroline Anglade à faire ça, a expliqué Clémentine Célarié mercredi 14 février sur franceinfo. Ce sont des situations extrêmes qui provoquent des émotions parce que de toute façon ces deux femmes sont liées par le même homme en même temps. Elle n’est pas débile, la vieille, c’est-à-dire moi", lance la comédienne en riant. Avant d'ajouter : "Et la jeune non plus..."
Le jeu d'acteur est riche. "Cela oscille entre le drame, la comédie, parce que Paule, le personnage que je joue, est montée sur des ressorts, elle a une énergie incroyable." Irène, sa collaboratrice, jouée par Caroline Anglade, est, elle, "un petit peu victime". Les rapports entre les deux femmes sont à la fois tendus et touchants.
Il y a une espèce de rapport de force qui est très drôle à jouer. On s'aime beaucoup avec Caroline, et parfois j’en ai marre de lui gueuler dessus
Clémentine Célariéfranceinfo
L'avocate qu'elle incarne, Paule Lebowitz, est "très méchante, très dure" avec Irène. Aussi, "c’est jouissif à jouer, à incarner un personnage comme cela, parce que c’est excessif, affirme Clémentine Célarié. Ce sont des ressorts de comédie ou de drame d’ailleurs, en tout cas, d’émotions de la vie. C’est pour cela que j’aime cette série. C’est pour cela que j’ai continué à la faire", ajoute-t-elle. Elle apprécie également le "travail en profondeur" et collectif, mais aussi le fait qu'"on s’aime" dans l'équipe. Son fil conducteur : faire ce qui lui plaît, avant tout. "Je ne calcule pas. Il faut que ça me plaise, insiste-t-elle. Si on commence à faire un projet pour qu’il marche, on ne fait rien, on s’autocensure. Ce n’est pas intéressant. La liberté pour moi, c’est important".
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