Protection sociale : quelle prise en charge à l’étranger ?
Entretien avec Christina Gierse, rédactrice-en-chef du site de la mobilité internationale Vivre à l'étranger.com du groupe Studyrama
Elle n’est pas optimale. Selon une étude récente d'Humanis, un expatrié français sur cinq ne dispose d’aucune couverture sociale.
- Il existe quelques pays qui ont signé des conventions bilatérales avec la France (liste disponible sur le site du www.cleiss.fr) mais, pour la plupart, vous devrez cotiser au régime de santé local. Le problème est que celui-ci est généralement moins protecteur que le nôtre.
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L’Asie, les États-Unis sont particulièrement chers. Pensez-y avant de partir, surtout si vous souffrez de maladies chroniques, si votre ado a besoin d’un appareil dentaire ou si vous prévoyez d’accoucher à l’étranger.
A titre d’exemple, une orthodontie non prise en charge au Royaume-Uni revient à près de 2.000 euros. Pour un accouchement à Singapour, comptez un peu plus de 10.000 euros.
Aller plus loin
Le baromètre Humanis 2016 sur la protection sociale des expatriés
Retrouvez ce dossier sur le site Internet de la mobilité internationale Vivre à l'étranger.com du groupe Studyrama
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