Jean-François Zygel : "Les mots sont mon Violon d'Ingres"
"Quand j'étais enfant, pour tromper la vigilance de mon père, je mettais un livre sur le pupitre, je laissais courir mes doigts sur les touches, et il croyait que je travaillais mon piano." L'habitude lui est restée. Le pianiste pose désormais régulièrement Victor Hugo, Chateaubriand, Zola, Ponge ou Mallarmé sur son pupitre. Et lit en improvisant.
Ce qui lui plaît tant dans la poésie? "Elle parle de choses très simples, très ordinaires, mais c'est dans la forme qu'elle est extraordinaire."
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