Boris Bergman, la Russie, le rock'n'roll et Bashung
Dans Ces Chansons qui font une vie , des artistes viennent dévoiler leur rapport à la musique, leurs plaisirs coupables ou leurs inspirations en répondant à une série de questions : La première chanson que vous avez voulu acheter, la chanson de Papa, la chanson de Maman, la plus belle chanson du bon vieux temps, la première chanson que vous avez détestée avant de vous mettre à l'aimer, la chanson que vous êtes le seul à aimer, ou du moins que vous n'avez jamais réussi à faire partager à quelqu'un, la chanson que vous auriez aimé écrire, la chanson que vous avez honte d'aimer, la chanson que vous n'avez pas écrite mais qui parle de vous, la chanson qui vous accompagne pendant les insomnies…
Boris Bergman est parolier. En anglais, d’abord, pour Aphrodite’s Child, puis en français notamment pour Alain Bashung, avec qui il mène une révolution de l'écriture rock dans notre langue, mais aussi Juliette Gréco, Maxime le Forestier ou, tout récemment, Rod Barthet.
Il est venu dévoiler un peu de son univers musical intime dans « Ces chansons qui font une vie ».
Les chansons choisies par Boris Bergman :
Vihoju Odin Ya Na Dorogu par Anna German (1964)
Quizas, quizas, quizas par Nat King Cole (1958)
Peggy Sue par Buddy Holly & the Crickets (1957)
Je n’ai pas signé de contrat par Eddy Mitchell (1967)
Superman’s Song par The Crash Test Dummies (1991)
Blues par Léo Ferré (1961)
You’ve Lost That Loving Feeling par The Righteous Brothers (1965)
Vertige de l’amour par Alain Bashung (1981)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série d’été La Face cachée des tubes.
Pendant le Tour de France, nous vous avons proposé, en vingt-trois épisodes, la chronique Ces chansons qui font le Tour.
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