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La chanson et le Président : Valéry Giscard d'Estaing

Nous continuons notre série sur les rapports de la chanson avec les Présidents de la Ve République. Après Charles de Gaulle et Georges Pompidou, voici Valéry Giscard d'Estaing.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (©)

 

Après Charles de Gaulle et
Georges Pompidou les semaines précédentes, nous poursuivons notre série avec Valéry
Giscard d’Estaing, président qui n’a pas rechigné à jouer de l’accordéon à la
télévision et même à chanter lui-même
, avant que nous parlions de François Mitterrand
et Jacques Chirac dans les semaines à venir.

Comme ses prédécesseurs,
Giscard a suscité un certain nombre de chansons idolâtres et tropicales qui ne
manquent pas de séduction chorégraphique, mais le Giscard que l’on retrouve le
plus souvent dans les chansons enregistrées au cours de son septennat, c’est l’accordéoniste !
Mais son amour de la chasse lui vaudra d’être un des personnages principaux
d’un gold de la chanson française
.

 

 

 

Les chansons de la chronique d’aujourd’hui : Le Chant du départ par Valéry Giscard d’Estaing (1974), Giscard Bongo par Tchibanga (1976), La
Biguine à Giscard
par Gérard La
Viny (1975), Le Giscardéon par Sophie Darel (1974), Le Clochard des jumbos par Michel Polnareff (1978), Quand t’es dans le désert par Jean-Patrick Capdevielle (1979), Killer Man par Gazoline (1977), Le
Président et l’Eléphant
par Gilbert
Lafaille (1977).

 

 

Vous
pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

 

Le livre qui accompagnait notre
chronique de cet été, Les chansons
qui ont tout changé
, est sur le kiosque de Radio-France et
en librairie avec sa cinquantaine
d'histoires de chansons historiques, de Ne
me quitte pas
de Jacques Brel à Didi
de Khaled, de Rock Around the Clock
par Bill Haley à Mignonne allons voir si la
rose
...

 

 

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