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Jérusalem, chansons de paix

L'ONU a examiné cette semaine la candidature de la Palestine, ce qui nous invite à réfléchir au statut que la chanson française accorde à Jérusalem.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
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Pendant longtemps, Jérusalem était très loin. Puisque nous sommes un pays
de culture chrétienne, le Proche-Orient a été pendant des siècles le pays de la
Bible. Avant d'être pour nous un des symboles des tensions au Proche-Orient,
Jérusalem a surtout été la ville de la prédication et du supplice du Christ.

Il a fallu que le Moyen-Orient se
déchire, il a fallu que Jérusalem sorte de la Bible pour entrer dans les
journaux, pour que la chanson française apprenne que Jérusalem n'est pas
seulement la ville sainte du christianisme et qu'elle commence à y songer.

 

Les chansons de la chronique d'aujourd'hui

Hélène Maritin : La Fille de
Jérusalem
(1970)Edith Piaf : Jérusalem (1960)Rika Zaraï : Un mur à Jérusalem (1969)HK et les Saltinbanks : Jérusalem
(2010)Akhénaton et Idir : Marche sur Jérusalem
(2007)Enrico Macias : Noël à Jérusalem
(2003)Rost : Requiem pour Jérusalem
(2010) Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Les cinquante épisodes d'Un été,
une chanson
, notre chronique de l'été 2012, sont disponibles
ici.

Les livres qui ont accompagné nos chroniques des étés 2010 et 2011, Ces
chansons qui font l'histoire
et Les chansons qui ont tout changé ,
sont l'un
et
l'autre sur le kiosque de Radio-France
et présentent une centaine
d'histoires de chansons historiques, de La Marseillaise à No Woman No
Cry
de Bob Marley, de Ne me quitte pas de Jacques Brel à Tomber
la chemise
de Zebda, de Rock Around the Clock par Bill Haley à Mignonne
allons voir si la rose
...

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