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Des promesses, toujours des promesses

Alors que les candidats à la présidentielle dévoilent les uns après les autres leurs programmes, voyons quelle valeur les chansons accordent aux promesses.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Vous l’avez entendu ces derniers jours sur France Info, François Hollande a dévoilé les mesures phares de son programme présidentiel.

La langue française et nos usages politiques sont ainsi faits que l’on parle dès lors couramment de promesses.

S’il est élu, on lui rappellera ses promesses de campagne et lui-même ne se privera pas de rappeler à l’actuel président de la République ses promesses de 2007 qui n’ont pas été tenues, et ainsi de suite…
Dans la chanson, il n’arrive pas très souvent que l’on chante des mesures économiques et sociales qui devront être prises. Quand on promet, c’est autre chose que le rabotage des niches fiscales et la création d’emploi jeunes. C’est plus gai, toujours, c’est plus quotidien, c’est plus amoureux .

Les chansons de la chronique d’aujourd’hui :

Ne me demande pas par Clarika (2005), Vas-y Léon par Montéhus (1936), Estelle par Pierre Perret (1979), Tu verras par Claude Nougaro (1978), Les Promesses par Serge Reggiani (1973), Tu m’embêtes par les Bombes 2 Bal (2004), Les Roses et les Promesses par Benjamin Biolay (2001), Promesse cassée par Zachary Richard et Francis Cabrel (2005), Tous les bateaux tous les oiseaux par Michel Polnareff (1969).

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