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Va-t-on moins chauffer ?

Les pouvoirs publics invitent à la sobriété énergétique, et donc à baisser le chauffage. Quelques chanteurs y ont déjà pensé... 

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1min
Se chauffer cet hiver, à quel prix ? Comment la chanson populaire s'est-elle inspirée de la question du chauffage et de la sobriété énergétique ? (Illustration) (VANESSA MEYER / MAXPPP)

C’était il y a vingt ans. Les climatologues savaient que notre civilisation devrait songer un jour à baisser le chauffage, mais personne n’avait prévu que la guerre d’un dictateur en Ukraine aurait pour conséquence que des ministres en col roulé nous inviteraient à la sobriété énergétique.

Et pourtant, il y a vingt ans exactement, sur son premier album en 2002, Vincent Delerm nous parle de ces gens qui ont chez eux le chauffage à dix-sept. Mais vous vous souvenez du début de ce couplet : les parents de Chloé – elle s’appelle Chloé – votent pour les Verts et écoutent France Inter, ce qui suffirait à limiter le thermostat à dix-sept.

En revanche, on est sûr que le chauffage est trop fort et qu’il y a de la buée sur les fenêtres quand on se promène en petite tenue et que l’on habite juste en face de chez Renan Luce.

Dans le premier épisode de Ces chansons qui font l’actu ce week-end, vous entendez des extraits de :    

Vincent Delerm, Tes parents, 2002

Renan Luce, Les Voisines, 2006

Richard Gotainer, Vive l'hiver, 1987

Gérard Lenorman, Les Matins d'hiver, 1972

Shurik'n, Ici, 2012

Pierre Perret, Le Plombier, 1973

François Béranger, Département 26, 1974

Louis Chedid, Bidon de gas-oil, 1997

Richard Gotainer, Vive l'hiver, 1987


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