Quand la chanson détestait que l'on réinvente Paris
Vous l’avez entendu cette semaine sur France Info, la maire de Paris, Anne Hidalgo, a révélé la vingtaine de projets qui, dans les années à venir, vont transformer une bonne partie du paysage de la capitale. C’est l’effet inverse de la modernisation de Paris après-guerre, quand la ville a perdu beaucoup d’espaces verts et de nature. Ce processus avait suscité beaucoup de chansons...
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Gilles Servat, Paris tu m'as pris dans tes bras et j'ai eu du pot de m'en sortir , 1973
Jacques Dutronc, Le Petit Jardin , 1972
Jean Sablon, Paris tu n'as pas changé , 1939
Alain Barrière, Notre rue de Paris, 1972
Juliette Gréco, Paris d'Papa, 1972
Jean Ferrat, Paris an 2000, 1972
Georges Chelon, Paris n'a plus l'air de Paris , 1971
Juliette Gréco, C'était Paris en 1970, 1970
Bernard Dimey, A Paris il y a des ponts , 1968
Thomas Dutronc, J'aime plus Paris, 2007
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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