Pour les Journées du patrimoine, la chanson monte à la Tour Eiffel
Si, pour les Journées du patrimoine, aujourd’hui et demain, la plupart des Français vont, comme chaque année, aller plutôt vers des bâtiments ou des édifices rarement ouverts au public, la chanson ne s’intéresse pas beaucoup aux salons du Palais de l’Élysée ou à l’abbatiale Saint-Austremoine, à Issoire, dans le département du Puy de Dôme, mais se passionne pour le plus célèbre édifice parisien – et même français, et peut-être même européen, la Tour Eiffel.
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Perchicot, Quand on revoit la Tour Eiffel , 1930
The Beatles, I Am The Walrus, 1967
The Nits, The Eiffel Tower , 2005
Mistinguett, La Tour Eiffel est toujours là, 1942
Jean Cocteau, Jean Le Poulain, Jacques Charon, Les Mariés de la Tour Eiffel , 1955
Arthur H, La Tour Eiffel sidérale , 1996
Charles Trénet, Y'a d'la joie, 1937
Jean Cocteau, Jean Le Poulain, Jacques Charon, Les Mariés de la Tour Eiffel , 1955
Mouloudji, La Complainte de la Tour Eiffel , 1955
Juliette Gréco, C'était Paris en 1970 , 1970
Les Rita Mitsouko, Ma vieille ville , 2007
Gilles Servat, Paris tu m'as pris dans tes bras et j'ai eu du pot de m'en sortir , 1973
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.