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La chanson n'aime pas passer à la banque

Les Panama papers ne font qu'aggraver une tendance lourde : notre culture populaire n'aime ni la banque, ni les banquiers.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Que plusieurs grandes banques mondiales, dont la Société Générale, soient mises en cause dans les Panama papers ne va pas améliorer leur image dans la culture populaire.  © MaxPPP)

 Nous avons dans notre patrimoine une foule de chansons qui méditent sur l’argent et ses méfaits. Mais, de plus en plus, elles s’en prennent aux mécanismes de la finance et aux banques.  

 

Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

 

Jacques Dutronc, Savez-vous planquer vos sous? , 1982

Frères Jacques, Le Fric , 1982

Jacques Grello, L'Argent, 1953

Jeronimo, L'Argent c'est bien , 2009

Gina et l'Orchestre, Monsieur le banquier , 2014

Julien Clerc, Faillite , 1970

Barsony, La brank qui braque des banques , 2001

Francis Laferrière, Ma banque, 2011

Les Souinq, Ma banquière , 2011

Christian Perignon, Le Banquier et l'Entrepreneur , 2011

Tramel, C'est pas toujours rigolo d'avoir d'l'argent, 1932

 

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.

Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.

Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.

Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.

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