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La chanson honore les grands disparus

Les artistes aiment à célébrer leurs admirations, y compris par-delà la mort, en songeant à la destinée posthume - y compris la leur.
Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Barbara chantera très tôt l'idée d'avoir un bel enterrement, une tentation courante chez les chanteurs français, qui prennent à bras-le-corps la question de la destinée posthume. © Ron Kroon-Creative Commons)

 Les artistes sont des gens comme les autres : ils aiment ou ils admirent comme nous ; et ils sont parfois fans, avec des réflexes de fans. Et quand vient l’heure de la mort d’un artiste aimé, ils chantent. Ils chantent même parfois leur propre hommage mortuaire…

 

 

Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :

 

 

Michel Delpech, Nicholson & Co , 2004

Michel Delpech, Entrée des artistes, 1966

Georges Brassens, L'Enterrement de Verlaine , 1960

Philippe Forcioli, L'Enterrement de Paul Fort, 2000

Maxime Le Forestier, La Visite , 1988

La Blanche, La Mort à Johnny , 2006

Léo Ferré, A mon enterrement , 1971

Damien Saez, Chanson pour mon enterrement , 2008

Charles Aznavour, J'abdiquerai , 2007

Barbara, Y aura du monde, 1967

 

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.

Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.

Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.

Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

 

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