Entre fascination et angoisse, chanter le nucléaire
La chanson a parfois manifesté de la fascination, voire de l’enthousiasme pour l’énergie nucléaire.
Dans le premier épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Ah la danse atomique par Henri Decker (1947)
Bikini par Rose Mania (1946)
La Bombe atomique par Blond Blond (1947)
Nuclear Weapon par The Skatalites (1965)
Nuclear War par Sun Ra and His Outer Arkestra (1982)
Radioactivity par Kraftwerk (1975)
Radioactivity par Kraftwerk (version live, 2005)
La Bombe atomique par Blond Blond (1947)
D’abord la bombe atomique, puis la sécurité des centrales après l’accident de Tchernobyl, suscitent de fortes inquiétudes chez les chanteurs.
Dans le second épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
La Bombe par Les Francs Garçons (1969)
Il y avait une ville par Claude Nougaro (1964)
Les Centrales par Castelhémis (1982)
La Centrale par Gérard et les Stars (2006)
Les Enfants de la centrale par Les Fouteurs de joie (2013)
La Ballade de la centrale par Gilles Servat (1985)
CCCP atomique par Parabellum (1990)
Cette ville n’est pas une ville par Jeanne Cherhal (2006)
Tchernobyl Blues par Dick Annegarn (1990)
La Java des bombes atomiques par Boris Vian (1955)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-neuf épisodes de notre série d’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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