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Derrière nos voix. Juliette, les maîtres et les poncifs

Tout l'été dans "Derrière nos voix", nous rencontrons huit artistes majeurs de la chanson française qui, chez eux et leur instrument en main, nous dévoilent les secrets de leurs créations. Vendredi 19 août, Juliette à son piano nous dévoile quels artistes l'ont fascinée à ses débuts mais aussi son goût pour les clichés musicaux.

Article rédigé par Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
La chanteuse Juliette. (Yann Orhan)

Nous étions donc chez Juliette, qui était assise à son piano. Nous lui avons demandé si elle se reconnaissait des maîtres dans le métier de la chanson. Georges Brassens et Jacques Brel, évidemment – c’est un peu par eux que l’on devient artiste de la chanson, souvent. Et puis, dans le cas de Juliette, il y a les deux passions de jeunesse pour Jacques Higelin et pour Claude Nougaro. Mais des admirations ne dessinent pas pour autant un autoportrait, ni de décident de ce que sera une jeune chanteuse.

Dans cet épisode de Derrière nos voix, vous entendez des extraits de :

Juliette nous chante Que tal?, 2022

Juliette, Un monsieur me suis dans la rue, 1997

Juliette, Sentimental bourreau, 1991

Juliette nous chante Que tal?, 2022

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Souvenez-vous : pendant l'été 2019, La Playlist de Françoise Hardy a été une traversée du bagage musical d'une autrice, compositrice et interprète considérée comme l'arbitre des élégances de la pop en France.

En juillet et août 2017, nous avions passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidés dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson.

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