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Ces chansons qui font l'actu. "Emprunter" n'est pas plagier ?

Après la querelle entre les chanteurs Benjamin Biolay et Grégoire, petit retour sur quelques affaires du passé... qui invitent surtout à réfléchir sur la relativité du plagiat. 

Article rédigé par franceinfo, Bertrand Dicale
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Serge Gainsbourg en France. 19 décembre 1967 (REPORTERS ASSOCIES / GAMMA-RAPHO / GETTY IMAGES)

Le plagiaire n'est pas toujours quelqu'un qui copie sciemment l'œuvre d'un autre. Et copier une chanson n'est pas forcément un plagiat... Quelques exemples chez George Harrison ou Serge Gainsbourg...

Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :    

Aram Khatchaturian, Andantino1926 (enregistrement de 1960)

Grégoire, Mes enfants, 2017

Benjamin Biolay, Ton héritage, 2009

Charlotte Gainsbourg , Charlotte For Ever, 1986

George Harrison, My Sweet Lord, 1970

The Chiffons, He's So Fine, 1963

Babatunde Olatunji, Akiwowo,1960

Serge Gainsbourg, New York USA, 1964

Babatunde Olatunji, Akiwowo, 1960

Serge Gainsbourg, New York USA, 1964

Babatunde Olatunji, Kiyakiya, 1960

Serge Gainsbourg, Joanna, 1964

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur Twitter. 

En juillet et août dernier, nous avons passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidés dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson.  

Tout l’été 2016, en compagnie de Vincent Delerm, nous avons baguenaudé dans La Playlist amoureuse de la chanson, exploration buissonnière du patrimoine populaire. Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique d’été avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et franceinfo. 

Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire. 

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