Avouer ou démentir son homosexualité : comment ça se chante
On n’est pas toujours à l’aise, aujourd’hui, en réécoutant ce qu’ont écrit et chanté certains des grands maîtres de notre chanson populaire.
Dans le premier épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Ils en sont tous par Robert Rocca (1949, enregistrement de 1953)
Le Tsoin-tsoin, par O’Dett (1936)
Le Gorille par Georges Brassens (1952)
Qu’on est bien par Guy Béart (1957)
Le Mécréant par Georges Brassens (1960)
Les Remparts de Varsovie par Jacques Brel (1977)
Trompettes de la renommée par Georges Brassens (1962)
Les Bonbons 67 en concert par Jacques Brel (1967)
Le Représentant en confitures par Pierre Perret (1972)
Mon secret par Suzy Solidor (1938)
Pourtant, la chanson a été curieusement tolérante avant la guerre et l’Occupation, avec des personnages hauts en couleurs – et libres !
Dans le second épisode de cette chronique, vous entendez des extraits de :
Je suis un homme par Michel Polnareff (1970)
Le Rire du sergent par Michel Sardou (1971)
Je suis chanteur, je suis chanteuse par Charpini et Brancato (1944)
Henri, pourquoi n’aimes-tu pas les femmes ? par Dranem (1929)
Je ressemble à Mayol par Mayol (1925, enregistrement de 1932)
Ni toi, ni moi par Mick Micheyl (1952)
Un rien me fait chanter par Charles Trenet (1941)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-neuf épisodes de notre série d’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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